Avec des séries de licenciements continus et une incertitude économique imminente, la marée est de retour en faveur des employeurs. De nombreuses organisations qui avaient embauché massivement au cours des deux dernières années appliquent le modèle de travail de «retour au bureau», certaines revenant même sur leur position antérieure de travail flexible. Avec la récession qui frappe durement, les employés sont obligés de prêter attention à l’appel du retour au travail, du moins pour le moment.
Au milieu de cette tourmente, la flexibilité du travail est devenue l’avantage le plus recherché par les demandeurs d’emploi. Selon une étude menée par McKinsey & Company (juillet 2022), sur 13 382 travailleurs contactés dans le monde, 40 % ont déclaré que la flexibilité du lieu de travail était l’un des principaux facteurs de motivation dans leur décision de rester dans un poste (à peine derrière juste après le salaire (41 %). Environ 26 % ont déclaré que le manque de La flexibilité a été un facteur majeur qui les a poussés à quitter leur dernier emploi.
La dynamique actuelle du marché peut pousser les employés à accepter des mandats de retour au travail, mais non sans résistance. Cependant, l’anxiété de sauver leur emploi et leurs revenus peut ne pas être un bon employé. motivation, en particulier lorsque les organisations basées sur des projets visent à alimenter la croissance et la rentabilité, ce qui peut être préjudiciable à la main-d’œuvre dans une économie du savoir.
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